se dit pour un solo improvisé en jazz

solo: annuaire des musiciens et groupes de jazz, blues à Cergy (95800) les annonces : solo - Annuaire des musiciens et groupes de Jazz à Cergy. Découvrez une grand diversité de groupes de Jazz à programmer dans votre salle, club de Jazz, festival où à l'occasion de toute autre événement que vous organisez. Musique classique; Jazz , Blues Lejazz se caractérise par une large place laissée à l'improvisation et par la mise en valeur du rythme, le swing. Voilà pour la définition. Voilà SeDit Pour Un Solo Improvisé En Jazz - CodyCross Ici vous trouvez la solution exacte à Se Dit Pour Un Solo Improvisé En Jazz pour continuer dans le paquet CodyCross Transports Groupe 112 Grille 5. Solution pour Se Dit Pour Un Solo Improvisé En Jazz CHORUS Précédent Suivant Solutions du même Grille Avocate Jouée Par Calista Flockhart Prénommée Ally Ondonne le nom et montre une photo des instruments qu’on va entendre en soliste ; dans le jazz, un solo improvisé s’appelle un chorus 1. Trompette 2. Trombone – chorus 1 3. Clarinette – chorus 2 (avec en réponse la voix de Louis Armstrong – certains enfants remarquent que la voix est utilisée comme un instrument) 4. Piano Jazzet musiques improvisées : quels disques vont éclairer notre hiver ? La période n’est guère propice aux escapades nocturnes pour nous, les provinciaux. Il y a peu de concerts et on manque de courage pour prendre la nonton my name is khan sub indo. Sylvain Luc à Coutances 2018 c Gérard Boisnel - Vous avez souvent été perçu au travers de vos talents techniques de guitariste. On a souvent vanté votre vélocité. Peut-être est-ce d’ailleurs fortement lié à l’univers guitaristique ? Je pense notamment à ces grandes figures de la guitare ou encore à la notion de guitar hero ». Cette manière de voir n’est-elle pas réductrice ? J’ai envie de dire que la trajectoire d’un instrumentiste c’est de se bonifier en tant que musicien. Ça passe par un certain travail, par de la technique ou plutôt par de la maîtrise technique. Mais c’est un outil. L’idée est d’être le plus possible ancré dans la musique, de procurer des émotions. C’est la seule chose qui m’intéresse. Je ne souhaite pas sidérer les gens. Une partie du public peut être sidérée par une prouesse technique, par de la fulgurance, c’est vrai. Dans les années 1970-1980, il y avait cette tendance à jouer très vite. Ça a peut-être perduré sous certains aspects. Mais, pour ma part, je ne cherche pas à être spectaculaire. J’aime que la musique explose, explore ou prenne son temps. - Vous donnez l’impression de privilégier les petites » formations. On vous a beaucoup croisé en duo, que ce soit avec Biréli Lagrène, Richard Galliano pour ne citer que ceux-ci, ou en trio. Est-ce que ça relève du hasard ou effectivement préférez-vous ces formules ? J’ai joué et je joue dans des formations plus grandes. Par exemple j’ai un quintet avec Keyvan et Bijan Chemirani, Lionel Suarez et Stéphane Belmondo. Mais c’est vrai que je préfère privilégier les petites formations, le solo, le duo ou le trio. C’est plus facile de se parler, d’échanger entre musiciens. Quand on élargit le groupe, la musique est souvent plus écrite et comme je n’aime pas faire deux fois la même chose, ça doit expliquer cette préférence pour les formats plus petits. quand on improvise, on se raconte, on dit qui on est - Votre jeu est riche d’improvisations. Mais à vous écouter jouer on a le sentiment qu’il y a autant de manières d’improviser qu’il y a de partenaires. Les longs développements à partir de thèmes populaires que vous proposez avec Biréli Lagrène, par exemple, ne ressemblent pas aux improvisations que vous pouvez mener avec Médéric Collignon ou avec Sly Johnson. On ne dit pas toujours assez à quel point un musicien doit s’adapter pour que la musique ait un sens. Car quand on improvise, on se raconte, on dit qui on est. Quand j’improvise j’exprime qui je suis et comment je suis, j’exprime même mes doutes. Et, sauf si on est en solo, on improvise avec quelqu’un d’autre. Avec mon épouse Marylise Florid, on a un duo autour de la musique classique sur laquelle j’improvise. C’est un langage. Avec Biréli, avec Bernard Lubat, avec Médéric ce sont autant d’autres langages. - Différents langages et différents genres également. Vous pouvez aller du côté du jazz bien sûr mais aussi de la chanson, et pas seulement. Je crois être très éclectique et tous ces styles me nourrissent beaucoup. Certains musiciens se cantonnent à un genre. Pourquoi pas ? Moi, je serais malheureux. C’est très certainement ma formation. J’ai joué du rock, du jazz expérimental, de la musique traditionnelle basque. J’ai fait beaucoup de studio aussi. Or, quand on fait du studio, il faut pouvoir jouer dans différents styles et différentes guitares. Car il n’y a pas une guitare mais des guitares et le timbre de chacune d’entre elles nous dirige vers tel ou tel genre de musique. J’écoute beaucoup de musiques aussi et tout ça me nourrit également. - Vous donnez souvent l’impression de donner des touches d’humour dans votre jeu. Je pense par exemple au duo avec Biréli Lagrène. S’amuser fait-il partie de la scène ? Vous avez totalement raison. Je crois que j’aime bien dépassionner la forme classique d’un concert. J’aime bien que mes notes fassent réagir et j’aime bien réagir aux notes des autres. Il y a un côté qu’on pourrait qualifier de facétieux. Il y a aussi l’idée d’aller chercher quelque chose. J’ai envie de dire qu’on peut sérieusement rigoler. De plus, j’ai un peu de mal avec l’image du musicien de jazz maudit. L’humour permet au musicien de se détendre. Et au public aussi. Sylvain Luc à Orthez en 2010 c Pierre Vignacq - A l’occasion d’une carte blanche au festival d’Anglet en 2018, vous aviez dit être comme à la maison. Je comprends que ça faisait référence au Pays basque. Mais de manière générale, vous semblez très décontracté sur scène. Juste avant de monter sur scène, j’ai un peu d’adrénaline. Une fois que la musique commence, le stress disparaît. C’est la première note qui est la plus difficile. A Anglet justement, je me souviens qu’il y a eu à un moment un problème avec la guitare électrique. Dans des situations comme celle-la, il faut pouvoir réagir, sinon on panique. La décontraction doit assurément aider. J’ai donc pris la guitare acoustique et on a joué sans retour. - Je crois que l’ensemble des morceaux du trio Sud est constitué d’improvisations. Est-ce à dire qu’on entre en studio sans partitions, sans motifs mélodiques et qu’on se lance comme ça ? Comment est-ce que ça marche dans le cas de ce trio ? Les premiers concerts ont été faits comme ça. J’envoyais les choses et on regardait comment ça réagissait. D’ailleurs c’est ça qui est intéressant, surtout avec André Ceccarelli et Jean-Marc Jafet. Sud, c’est véritablement trois individualités. On se connaissait très bien et on se connaît toujours très bien. Quand on joue ensemble, on voit où ça mène. On se repose quelquefois sur des thèmes. Quelquefois encore, les thèmes ont été improvisés sur place. Pour les albums, c’était un peu différent en revanche. La peinture, la poésie, les paysages, il ne faut pas oublier d’aller voir ailleurs - J’imagine qu’on n’est pas guitariste sans s’inscrire dans la grande histoire de la guitare, au-delà du jazz même. Alors la réponse est très certainement impossible mais, tout de même, quels sont les guitaristes qui ont contribué à façonner votre style ? Il y en a tellement. Je dirais Baden Powell. Je dirais aussi les guitaristes des années 1970 et 1980. John McLaughlin, John Scofield, Andrés Segovia également dans un registre de musique classique, Jeff Beck. Joe Pass aussi. C’est d’ailleurs le premier trio que j’ai entendu un album que m’avait donné l’accordéoniste Joë Rossi. Pat Metheny, Jim Hall. Il y en a plein, plein, plein. La jeune génération également compte beaucoup pour moi, des guitaristes comme Julian Lage ou Nelson Veras par exemple. En tant que guitariste j’ai voulu sonner ailleurs. L’influence de mon frère accordéoniste, Gérard, y a très certainement contribué. J’ai donc une approche de clavier. J’ai écouté beaucoup de pianistes, d’orchestres. En fait c’est bien plus large que les seuls guitaristes. J’ai beaucoup écouté de soufflants aussi. Ce sont toutes ces voix différentes qui m’ont influencé. Il y a aussi l’omniprésence du rythme dans la musique. Je suis passionné par les batteurs et les percussionnistes. Je me demande souvent comment ils font ceci ou cela. J’aime aussi voir comment les autres instruments fonctionnent - Je crois d’ailleurs que vous jouez également de la basse Le fait que je sois bassiste change mon angle. Je comprends d’autres rôles, d’autres points de vue. Sans compter que c’est jubilatoire de jouer de la basse. D’ailleurs Jaco Pastorius fait partie lui aussi de mes nombreuses influences. En revanche, contrairement à Biréli, j’ai découvert Django et son génie sur le tard. Je dirais très volontiers que je me nourris d’autres arts. La peinture, la poésie, les paysages, il ne faut pas oublier d’aller voir ailleurs. Voici toutes les solutions de la Grille 5 du Groupe 112 de Codycross Transports ↓ ContenuAvocate jouée par Calista Flockhart prénommée AllySe dit pour un solo improvisé en JazzSynonyme de maquillerAromate indispensable à la cuisine italienneVente immobilière en échange d’une rente à viePlanter ses dents dans quelque chosePièce centrale de l’avant d’un bateauRestes d’un objet détruitOn le tire par la queue quand on n’a pas d’argentPrendre la balle à un adversaire en FootballDéesse de la guerre chez les GrecsNom de la terre française en Antarctique Avocate jouée par Calista Flockhart prénommée Ally Voici le solution du groupe 112 grille 5 Avocate jouée par Calista Flockhart prénommée Ally MCBEAL Se dit pour un solo improvisé en Jazz Voici le solution du groupe 112 grille 5 Se dit pour un solo improvisé en Jazz CHORUS Synonyme de maquiller Voici le solution du groupe 112 grille 5 Synonyme de maquiller FARDER Aromate indispensable à la cuisine italienne Voici le solution du groupe 112 grille 5 Aromate indispensable à la cuisine italienne ORIGAN Vente immobilière en échange d’une rente à vie Voici le solution du groupe 112 grille 5 Vente immobilière en échange d’une rente à vie VIAGER Planter ses dents dans quelque chose Voici le solution du groupe 112 grille 5 Planter ses dents dans quelque chose MORDRE Pièce centrale de l’avant d’un bateau Voici le solution du groupe 112 grille 5 Pièce centrale de l’avant d’un bateau ETRAVE Restes d’un objet détruit Voici le solution du groupe 112 grille 5 Restes d’un objet détruit DEBRIS On le tire par la queue quand on n’a pas d’argent Voici le solution du groupe 112 grille 5 On le tire par la queue quand on n’a pas d’argent DIABLE Prendre la balle à un adversaire en Football Voici le solution du groupe 112 grille 5 Prendre la balle à un adversaire en Football TACLER Déesse de la guerre chez les Grecs Voici le solution du groupe 112 grille 5 Déesse de la guerre chez les Grecs ATHENA Nom de la terre française en Antarctique Voici le solution du groupe 112 grille 5 Nom de la terre française en Antarctique ADELIE Plus de réponses de Codycross Transports Codycross est l’un des jeux de mots les plus joués de l’histoire. 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J'ai travaillé des approches multiples et complémentaires telles que -accords/modes remin7____dorien sol7____mixolydien domaj7____ionien Une approche hyper rependue. -notes cibles/notes caractéristiques remin7___b3 et b7 sol7____3 et b7 domaj7_____3 et 7 Très musicale mais il faut bien connaitre son manche pour repérer les intervalles. -patterns 3217/3517 etc... attention à ne pas sonner comme un exercice -paires de triades -pentatoniques intéressant si on maitrise bien le rapport entre la penta et l'accords sur lequel on joue, sinon risque de jouer comme un robot; de manière figée Connaissez vous d'autres approches, d'autres conceptions? Ou bien les mêmes que celles dont je parle mais abordées différemment... Peut être des astuces personnelles, des expériences qui vous ont ouvert l'esprit! Haut Pickasso Custom Supra utilisateur Inscrit le 23 Dec 04 Localisation difficile Publié par Pickasso le 21 Oct 14, 1441 Approche mélodique je recherche presque toujours entre les déboules de notes, pour pimenter une mélodie ou quelque chose s'en approchant. Pour moi, aucune note n'est là pour "remplir" en impro, surtout si on joue lentement! Je suis loin de faire mouche à tous les coups, mais j'essaie de garder une certaine direction générale. Je suis très parcimonieux avec les chromatismes et les passages "out", j'adore Pat Metheny alors j'essaie de garder à l'esprit sa façon de garder l'aspect mélodique à l'avant-plan. Pour les styles plus "rock / métal", alors penta un peu partout sur le manche, mineur harmo, gammes min / maj, arpèges, un peu de tout mélangé, quelques maniérismes blues, beaucoup d'expressivité. Mais encore là, je fais un effort pour chercher des trucs qui ressemblent à une mélodie, pour créer une attente chez l'auditeur potentiel. Une sorte d'approche "tension-résolution" axée sur la mélodie plutôt que sur la simple "harmonie" rappel de thèmes à l'octave, en intervalles de tierce / octave, question-réponse, et je me fouette pour laisser respirer régulièrement. Ceci dit, selon le type de morceau, je pense que certaines approches sont plus évidentes. Tout est question de contexte ici. Haut AsatBass Inscrit le 10 Jan 15 Localisation France Publié par AsatBass le 21 Oct 14, 1522 Merci pour ta réponse pickasso. Rester mélodique c'est hyper important. Haut Pretty Special Cool utilisateur Inscrit le 09 Mar 09 Localisation Aix-en-Provence / Manosque Publié par Pretty le 21 Oct 14, 1741 L'oreille et la façon dont on a envie que le solo ressorte avant tout. La technique, les modes, notes cibles, gammes, triades... ça vient en support d'une idée de base. En gros, tu mets d'abord les doigts partout, au feeling, puis éventuellement tu analyses quels sont les outils qui peuvent permettre de développer l'idée de base. Haut AsatBass Inscrit le 10 Jan 15 Localisation France Publié par AsatBass le 21 Oct 14, 1845 Oui ça peut fonctionner pour l'écriture d'un solo, on y va a taton, mais dans un contexte d'impro je sais pas. Moi en tout cas mettre les doigts partout ça ne me convient pas pour la guitare en tout cas. Haut Out of Time Man Inscrit le 30 Mar 08 Localisation France Publié par Out of Time Man le 22 Oct 14, 1841 [quote1="asatbass"]Moi en tout cas mettre les doigts partout ça ne me convient pas pour la guitare en tout cas.[/quote1] [quote2="Pretty"]L'oreille et la façon dont on a envie que le solo ressorte avant tout. La technique, les modes, notes cibles, gammes, triades... ça vient en support d'une idée de base. [/quote2] +1 C'est à toi de guider ton impro asatbass. Imprègne toi bien de l'ambiance de l'accompagnement, puis ajoute ta touche perso pour qu'ensemble ça fasse le tout que tu as envie d'entendre. Considère ce que tu as décrit dans ton premier post simplement comme des outils... mais c'est toi l'artisan. [quote3="Pickasso"]j'essaie de garder une certaine direction générale.[/quote3] +1 ++ _________________Impro Facile ​"L'avenir ne se prévoit pas, il se prépare." Haut zigmout Modérateur Inscrit le 13 Oct 03 Localisation Hautes Alpes Publié par zigmout le 22 Oct 14, 1904 CitationC'est à toi de guider ton impro asatbass. Imprègne toi bien de l'ambiance de l'accompagnement, puis ajoute ta touche perso pour qu'ensemble ça fasse le tout que tu as envie d'entendre. Considère ce que tu as décrit dans ton premier post simplement comme des outils... mais c'est toi l'artisan. ben oui mais en impro justement tu n'as pas forcement le temps...il y a les impro tres preparer et les impro...impro type jam. et donc effectivement les outils ne sont pas forcement les memes. Personnellement plus ca va plus je me dirigeca depend des style vers l'impression d'enrichir la grille et de broder ca. Apres impro blues sur grilles ou sur 2 accords de rock ou sur du jazz...pas pareil non plus. _________________EPISODE n°2 sur gammes & modes en intervalles Mes différents cours d'approfondissement Haut maksss88 Inscrit le 22 Oct 14 Localisation - Publié par maksss88 le 22 Oct 14, 2104 moi perso, je compte mes notes avant de jouer, et j'essaye de faire un multiple de trois, ce qui m'oblige a réfléchir au placement rythmique dans la mesure. Haut AsatBass Inscrit le 10 Jan 15 Localisation France Publié par AsatBass le 23 Oct 14, 0038 Je pense à l'improvisation mais aussi a l'écriture de solo ou mélodie. Haut maksss88 Inscrit le 22 Oct 14 Localisation - Publié par maksss88 le 23 Oct 14, 1228 Regrouper les intervalles en 2 catégories " + " et "-". Dd E G Bb C Eb Gb A B D F Ab prend C comme base et tu obtient 4 intervalles avec la gammes qui la précède C > B 7M C > D 2M C > F 4j C > Ab 6m ces intervalles font un effet " - " pareil avec l'autre gammes C > Db 2m C > E 3M C > G 5j C > Bb 7m ces intervalles font un effet " + " et il reste trois intervalles C > Eb 3m la tierce mineure qui fait " + " C > A 6M la sixte majeur qui fait " - " C > Gb 5dim et la quinte diminué qui ne fait rien du tout + + + = "résolution mathématique" - - - = "résolution mathématique" exemple C note de basse joué sur tous les temp, mélodie possible Db Db Db blanche, blanche, ronde Eb E G mm rythme F F D bis avec ce système je peut utiliser la gamme chromatique et utiliser les modes à ma convenance avec un fond de logique mathematique Haut Pickasso Custom Supra utilisateur Inscrit le 23 Dec 04 Localisation difficile Publié par Pickasso le 23 Oct 14, 1717 Je serais bien curieux d'entendre tout ça en action! Haut Gaboriau Special Ultra utilisateur Inscrit le 11 Oct 10 Localisation Quebec Québec Publié par Gaboriau le 23 Oct 14, 1728 Moi aussi... ^^ maks88 a écrit j'ai potassé 4, 5 bouquin de méthode en tous genre, j'ai compris comment nommer des truks, comment lire des partitions,etc... mais j'ai pas appris à "FAIRE" de la musique. le rythme c'est quoi ? des notes frappées mis bout a bout sans logique ? si je fait une rond sur le premier temp d'une mesure n'importe quel type quel effet cela produit ? ya pas une sorte de principe d'échos qui va "marquer" le temp suivant ? puis refrapper du rythme pour marquer ensuite un autre temp, pour former des "intervalles" et pour pouvoir jouer avec le rythme. comment construire le rythme ? la solution c'est 1 coup frappé c'est une tension 2 coup frappé c'est deux tension 3 coup frappé ça RESOUS la tension et avec ça on peut commencer à jouer avec son instrument maks88 a écrit pour pouvoir utiliser le rythme comme les notes d'un piano faire "sonner" l'intervalle C / F avec une caisse claire par exemple si une ronde vaut 1/2 ton il faudra 5 ronde pour faire une quarte juste , et 7 ronde pour retrouver l'octave mais pour faire un intervalle, il faut 2 points A et B ou commence l'intervalle d'une ronde et ou finit il ? _________________ Haut Pickasso Custom Supra utilisateur Inscrit le 23 Dec 04 Localisation difficile Publié par Pickasso le 23 Oct 14, 1742 Oui, je sais. Si on pouvait avoir l'adresse IP du Troll, on pourrait connaître sa provenance et se rapprocher de sa véritable identité. C'est assûrément quelqu'un qui essaie de passer le message que la théorie ne mène à rien, et il s'amuse de la bonne foi de ceux qui en discutent sérieusement. Haut ben22 Special Méga utilisateur Inscrit le 19 Jul 05 Localisation charleroi Belgique Publié par ben22 le 23 Oct 14, 1903 Gaboriau a une bonne mémoire, je me suis aussi souvenu d'interventions du troll susmentionné sur le forum théorie. Haut skynet Modérateur Inscrit le 23 Aug 03 Localisation - Publié par skynet le 23 Oct 14, 1904 Je vous rassure il est banni. Gaboriau a écrit maks88 a écrit pour pouvoir utiliser le rythme comme les notes d'un piano faire "sonner" l'intervalle C / F avec une caisse claire par exemple si une ronde vaut 1/2 ton il faudra 5 ronde pour faire une quarte juste , et 7 ronde pour retrouver l'octave mais pour faire un intervalle, il faut 2 points A et B ou commence l'intervalle d'une ronde et ou finit il ? La dernière question est juste énorme, puisque cette note est ronde, ou se finit l'intervalle!? maksss88 a écrit moi perso, je compte mes notes avant de jouer, et j'essaye de faire un multiple de trois, ce qui m'oblige a réfléchir au placement rythmique dans la mesure. _________________ Haut Page 1 sur 5 Vos approches pour improviser/construire un solo Accueil forum -> Théorie MATERIEL > Forum par marques > Topics Pro Fabricants > Guitare > Basse > Amplification > Pédales, effets, home-studio > Accessoires et lutherie > Batterie et percussion > Clavier et piano > Chant et autres instruments > Le coin du bricoleur > Achat / Vente / Echange APPRENDRE > Théorie > Technique > Home-studio GROUPE / ARTISTE > Groupe / Artiste > Concerts > Petites Annonces Musiciens > Recherche de tablatures DIVERS > Bla bla et guitare > Backstage > Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme Planter ses dents dans quelque chose — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies. Il y a ce qu’on dit et la façon de le dire. Ce sont là deux objets qui, lorsqu’ils sont opposés, peuvent desservir la clarté du récit, ou bien, comme dans The Song Is My Story, lui donner un équilibre inébranlable. L’enregistrement a eu lieu en Italie en juin 2014 à l’occasion de ses 80 ans ; Abdullah Ibrahim y joue sur un Fazioli après avoir visité l’atelier où l’on fabrique ces instruments d’exception. La majeure partie du concert est en improvisation libre. Le titre en dit long sur ce qu’Ibrahim donne ici une photographie de sa personnalité artistique. Il déverse simplement toute la musique qui coule en lui à un instant T. Sans concessions. Sans pincettes. C’est brut, c’est d’une profondeur vertigineuse, et c’est un mélange parfait de force et de délicatesse. Cette photographie met en lumière certaines de ses inspirations, avec plus ou moins de netteté. Il y a en arrière-plan l’Afrique du Sud, où sont ancrées ses racines. Il y a ses pairs ; on entend un peu de Monk dans African Dawn », tiré de l’album du même nom. Il y a une nouvelle version en deux chapitres de cet hommage à Coltrane, léger, lyrique, amoureux. Et bien sûr, omniprésent dans l’album et dans sa carrière en général, le maître qui l’a découvert et propulsé dans les années 60, Duke Ellington. Les formats sont très courts, ce qui est inhabituel pour un solo de piano, surtout improvisé. En un rien de temps, Ibrahim arrive à tout dire et bien plus, mais ne bavarde jamais. Il ne va qu’à l’essentiel. Les nuages, bien qu’uniquement constitués d’air, paraissent massifs ; la musique d’Abdullah Ibrahim, c’est l’inverse elle est légère et douce bien qu’habitée d’une dense matière. Unfettered Muken », par exemple est tout en suggestions. Lui aussi au format interlude, ce morceau s’ouvre sur un motif plein de groove qui laisse deviner un puissant tandem basse-batterie planqué sous le capot du piano à queue. S’ensuit alors un discours subtil et aérien, fait de liberté, qui semble laisser de la place à un autre compère - pourquoi pas un soufflant. La question est comment peut-on laisser autant de place en laissant si peu de vide ? Ibrahim a souvent joué avec des cuivres, et même quand il décide de se cantonner au piano, son jeu sous-entend la couleur du trombone, ses silences suggèrent les réponses du saxophone. Son piano est comme une grande boîte dans laquelle sommeillerait un big band, et du bout de chaque doigt il peut réveiller et faire chanter un instrument différent. Abdullah Ibrahim fait le choix d’ouvrir et de refermer ce solo au saxophone. Ce pourrait être un trait d’humour. Mais, à l’ouverture, la Celestial Bird Dance » est trop belle pour qu’on pense à rire. En revanche, la demi-minute de Children Dance », pour clore l’album, laisse bien entrevoir cet enfant qui danse et nous nargue, et nous invite à jouer avec lui, l’air de dire D’accord, je viens de retourner tous tes sens pendant seize morceaux, du frisson aux larmes, en passant par la mélancolie ou l’excitation, mais tout ça ne raconte que la vie, et ma vie, c’est de jouer ».

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