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Cette trilogie (Vipère au poing Attention: ce résumé par chapitre du livre L'empreinte de la lune contient une grande quantité de révélations. Pour un résumé du livre sans coupure, rendez-vous ici. Sommaire. 1 Prologue; 2 Chapitre 1; 3 Chapitre 2; 4 Chapitre 3; 5 Chapitre 4; 6 Chapitre 5; Prologue. On voit que nous sommes quelques part dans la Tribu de l'Eau Vive. Source aux Petits Poissons apprend à son Explicationdu livre vipère au poing de Hervé Bazin nonton my name is khan sub indo. Fiche de lecture sur vipère au poing Delphine Leloup Téléchargement immédiat Format ePub Sans DRM Résumé Tout ce qu'il faut savoir sur Vipère au poing d'Hervé Bazin ! Retrouvez l'essentiel de l'?uvre dans une fiche de lecture complète et détaillée, avec un résumé, une étude des personnages, des clés de lecture et des pistes de de manière claire et accessible, la fiche de lecture propose d'abord un résumé chapitre par chapitre du roman, puis s'intéresse tout particulièrement à Jean et à sa mère, qui entretiennent une relation haineuse. On étudie ensuite la dimension autobiographique de l'?uvre, ainsi que sa portée initiatique, avant d'aborder la critique formulée par Mauriac à l'encontre de la famille bourgeoise. Enfin, les pistes de réflexion, sous forme de questions, vous permettront d'aller plus loin dans votre étude. Une analyse littéraire de référence pour mieux lire et comprendre le livre ! Caractéristiques techniques NUMERIQUE Éditeurs Lemaitre Publishing Auteurs Delphine Leloup Parution 31/08/2011 Nb. de pages 13 Contenu ePub EAN13 9782806222411 Avantages Livraison à partir de 0,01 € en France métropolitaine Paiement en ligne SÉCURISÉ Livraison dans le monde Retour sous 15 jours + d'un million et demi de livres disponibles Résumé Caractéristiques techniques Nos clients ont également acheté Portrait de l'auteur Hervé Bazin. Source Vipère au poing, un roman en partie autobiographique Vipère au poing est un roman qui a été écrit par Hervé Bazin. Il est paru en 1948. Même si le principe de l’autobiographie est détourné, puisque l’auteur ne parle pas directement en son nom mais en celui de Jean Rézeau son narrateur, son récit s’inspire largement de ce qu’il a vécu. D’ailleurs, originaire de l’Anjou, son histoire se place dans la même région. Il écrira par la suite deux autres romans La mort du petit cheval et Cri de la chouette, pour ainsi aboutir à une trilogie sur la famille Rézeau. Les meilleurs professeurs de Français disponibles4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !C'est partiRésumé de Vipère au poing Jules Sitruck dans le rôle de Brasse-Bouillon, enfant. Film de Philippe de Broca, "Vipère au poing", sorti en 2004. Des retrouvailles de mauvais augure En 1922, Jean Rézeau, dont le surnom est "Brasse-Bouillon", découvre une vipère et l'étouffe de ses mains. 25 ans plus tard, il décide de raconter sa jeunesse et ainsi d’expliquer ses rapports avec sa famille, en décrivant leur quotidien lorsqu’ils vécurent à La Belle Angerie, un vieux château familial. Chez sa grand-mère paternelle, son frère aîné, Ferdinand, et lui, ont passé, parmi des domestiques dévoués, quelques années d'enfance heureuses. Leurs parents et leur plus jeune frère séjournaient quant à eux en Chine. Son père enseignait en effet le droit international dans une université chinoise. Mais tout bascule lorsque Jean a huit ans sa grand-mère meurt d'une maladie des reins. Ses parents doivent donc rentrer de Chine, à la Belle Angerie. Lui et son frère ont au départ très hâte de revoir leurs parents et de découvrir ce petit frère, Marcel, qu'ils ne connaissent pas. Sauf que les retrouvailles vont très vite les décevoir à peine descendue du train, leur mère les repousse violemment et en vient même à les gifler, leur ordonnant ensuite de porter les valises. Et l’attitude de Marcel n’est pas chaleureuse. Seul leur père les embrasse. Un quotidien strict, sans confort ni tendresse Les nouvelles règles de vie instaurées par leurs parents et surtout leur mère sont drastiques. Ils ne peuvent manger que de la soupe, ne doivent consacrer leurs heures libres qu’à l’entretien du parc du domaine, se rendre à la messe tous les jours et, même au niveau vestimentaire, leurs conditions sont réduites. En effet leurs chaussures sont remplacées par des sabots grossiers, et ils sont aussi tondus, soit disant par mesure d’hygiène. Très vite ils commencèrent ainsi à souffrir du froid, de la faim, et se sentent privés de tous plaisirs puisque même tous leurs objets personnels leur sont confisqués. L’humiliation est aussi physique puisque leur mère n’hésite pas à les battre, quel que soit le prétexte. Ils en viennent ainsi à haïr profondément leur génitrice, qu’ils surnomment Folcoche la contraction de folle » et de cochonne ». Même s’ils passent exceptionnellement de bons moments avec leur père, qui se place à l’opposé du caractère agressif de sa femme, lui se contente de rester en retrait en se réfugiant dans son bureau pour s’occuper de sa collection d’insectes, ayant finalement lui aussi peur de Folcoche. Leurs précepteurs se succèdent mais leur mère finit par en trouver un qui lui convient l’abbé Traquet. Ferdinand et Jean lui donnent aussitôt le surnom de BVII. Celui-ci suit les strictes recommandations de leur mère, et il commence par fouetter Frédie, en raison des provisions trouvées dans sa chambre, rassemblées lorsque Folcoche se trouvait à l’hôpital. Mais Brasse-Bouillon ne reste pas inactif en cachette il réconforte son frère aîné. Ensuite, Brasse-Bouillon met son plan à exécution. Il jette le trouble chez Folcoche en lui laissant croire que le précepteur a vraiment été très clément avec le fautif. Puis, pour le contrarier il suggère au précepteur que sa mère le prend pour un simple domestique. Enfin, il obtient de son père que Frédie bénéficie d'une amnistie. C’est une petite victoire. Folcoche, interprétée par Catherine Frot, dans le film de Philippe de Broca 2004. Source Rezo Films La longue bataille entre Folcoche et Brasse-Bouillon Malheureusement, en raison de son audace Jean est devenu le principal souffre-douleur de Folcoche. Elle multiplie les humiliations à son égard et lui, les représailles. C'est la "guerre civile". À l'actif de Folcoche les soupes épouvantablement salées, les habits de son fils qu'elle déchire, l’accusant ensuite de négligence. Brasse-Bouillon n’abandonne pas la bataille il déchire la collection de timbres de Folcoche et arrose ses fleurs avec de l'eau de Javel. Pendant les repas, il réussit à soutenir son regard de plus en plus longtemps. Et pour faire payer à leur mère sa piété perfide, les frères s’allient et se défoulent dans les églises ils jettent les missels dans les bénitiers, détraquent les horloges, couvrent les murs de graffitis... Puis c'est la guerre "alimentaire". Folcoche leur donne à manger des aliments avariés et accuse ses enfants d'avoir voulu empoisonner les chevaux. Cela se retourne contre elle car cette accusation donne des idées aux enfants. Ils versent 100 gouttes de belladone dans le café de leur mère pour l'empoisonner. Mais celle-ci, qui a souvent utilisé ce médicament durant sa maladie, n'aura qu'une "simple" colique. Les enfants ne désarment pas après leur tentative d’empoisonnement, ils tentent de la noyer lors d’une promenade sur la rivière. Folcoche en réchappe miraculeusement. Folcoche, qui comprend qu'elle a échappé par deux fois à la mort, décide de se venger. Elle demande à l'abbé Traquet de fouetter Brasse-Bouillon, qu'elle soupçonne d'être le meneur. Il se barricade dans sa chambre et s'enfuit la nuit venue. La fugue de Brasse-Bouillon Il parvient à se rendre à Paris chez ses grands-parents maternels, les Pluvignec. Il est impressionné par ce sénateur, sa fortune, mais est incommodé par sa vanité. M. Pluvignec, lui, est amusé par l'audace de son petit-fils et il promet d'œuvrer pour réconcilier l'enfant et sa famille. Jacques Rezeau, le père, arrive à Paris pour chercher son fils et, à la grande surprise de ce dernier, il n'exprime aucune colère, juste de l’embarras. Jean en vient presque à regretter que ce ne soit pas Folcoche qui ait fait le voyage. Certes, il la déteste, mais elle, elle aurait fait preuve d'autorité et de fermeté. Brasse-Bouillon revient avec son père à la Belle Angerie. L'ambiance est plutôt à l'indifférence. Il prend alors l'habitude de se réfugier sur la plus haute branche d'un arbre de la propriété. Ce refuge, où il se rend très souvent lui permet d'analyser la nouvelle situation. Il sait que maintenant son combat contre Folcoche a changé de nature. Sa corpulence d'adolescent, ses initiatives, son assurance et son sens de la provocation impressionnent Folcoche. Il rêve d'être bientôt exclu de la famille. Alice Sapritch dans le rôle de Folcoche. Image extraite de l'adaptation de Pierre Cardinal en 1971. De la haine en héritage Les travaux recommencent à la Belle Angerie il faut désherber les allées du parc, cirer les parquets du salon... Pourtant un anniversaire va modifier le quotidien. Cela fait vingt-cinq ans que le vénérable René Rezeau a été élu à l'Académie française. Jacques Rezeau, le père de Jean, souhaite organiser une grande cérémonie familiale pour fêter l'illustre octogénaire. Le jour de la fête, il faut écouter un discours assommant de trois heures. Jacques Rezeau profite de cette journée pour vanter les valeurs de la bourgeoisie et de la famille. Jean, pour sa part, a trouvé cette cérémonie désuète et incongrue. La haine qu'il éprouvait pour ses proches s'étend maintenant à toute sa famille et à toute la bourgeoisie. Brasse-Bouillon et Folcoche se ménagent quelque peu. Jean a maintenant quinze ans et commence à désirer les femmes. Il jette son dévolu sur Madeleine. Un dimanche d'été, en fin d'après-midi, il parvient à la séduire sous l'oeil attentif de Frédie qui, à la fois, contrôle le voisinage et s'assure de la réussite de son frère. Pendant quelques semaines, Jean savoure sa conquête, mais très vite il s'irrite des marques de tendresse de Madeleine. Pour lui, les femmes ne peuvent être différentes de sa mère, c'est pourquoi il s'en méfie. Finalement, les trois garçons vont partir comme internes chez les Jésuites au Mans. Reste une haine définitive entre Folcoche et Jean. Cette animosité a façonné pour toujours la personnalité du narrateur. Il n'a plus confiance en rien ni en personne. Il quitte la Belle-Angerie "une vipère au poing". Vipère au poing est le récit, largement autobiographique, du combat impitoyable que livrent Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et ses frères, à leur mère, Folcoche. Jean Rezeau, que nous suivons de quatre à seize ans, n’est pas pour autant un enfant martyr. Il a beaucoup trop de combativité pour être de ceux qui subissent la haine l’occupe comme d’autre la tendresse. N’avoue-t-il pas, à la dernière ligne Merci ma mère ! Grâce à vous, je suis celui qui marche, une vipère au poing ».Cri de haine et de révolte, Vipère au poing, le premier roman d’Hervé Bazin, lui apporta la célébrité et le classa d’emblée parmi les écrivains français les plus lus de notre époque. Lire plusexpand_more Titre Vipère au poing EAN 9782246788928 Éditeur Grasset Date de parution 02/11/2011 Format ePub Poids du fichier kb Protection CARE L'ebook Vipère au poing est au format ePub protégé par CARE check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur application iOs et Android Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur My Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur le lecteur Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur liseuse. Plongez-vous dans l'analyse du chapitre 16 de Vipère au poing d'Hervé Bazin pour approfondir votre compréhension de l'oeuvre !Que retenir du chapitre 16 de Vipère au poing, le roman populaire qui fit scandale à sa sortie ? Retrouvez toutes les subtilités de ce chapitre dans un commentaire original et complet pour approfondir votre réflexion sur le récit. Vous trouverez dans cette fiche - Une introduction sur l'oeuvre et son auteur- L'extrait sélectionné Chapitre 16- Une mise en contexte- Un commentaire de texte complet et détaillé L'outil indispensable pour percevoir rapidement ce qui fait du chapitre 16 de Vipère au poing une inversion du rapport de force entre la mère et le fils !À propos de la collection Plébiscité tant par les passionnés de littérature que par les lycéens, est considéré comme une référence en matière d'analyse d'oeuvres classiques et contemporaines. Nos analyses, disponibles au format papier et numérique, ont été conçues pour guider les lecteurs à travers toute la littérature. Nos auteurs combinent théories, citations, anecdotes et commentaires pour vous faire découvrir et redécouvrir les plus grandes oeuvres littéraires. est reconnu d'intérêt pédagogique par le ministère de l'Éducation. Plus d'informations sur L'histoire se déroule pendant l'été 1922. Jean et Ferdinand sont élevés par leur grand-mère paternelle dans le château familial de la Belle-Angerie. Lorsque celle-ci meurt, leurs parents sont obligés de quitter l'Indochine pour venir s'occuper d'eux. Les deux frères ont hâte de retrouver leurs parents qu'ils ne connaissent pas. Lorsqu'ils voient leur mère, ils se jettent sur elle, mais elle les repousse violemment. Les deux garçons rencontrent également leur nouveau petit frère, Marcel, qui est très froid. Seul le père les embrasse. La vie des enfants change complètement. Ils doivent se lever très tôt, leurs journées sont très studieuses. Leur mère leur interdit le café au lait, ils sont obligés de se tondre les cheveux. Elle confisque leurs objets personnels. Ils ne peuvent plus s'amuser ; quand ils ont du temps libre ils doivent s'occuper du parc. Les enfants ont froid et faim à cause des mesures de leur mère. Ils ne connaissent pas la tendresse, ils sont constamment punis et humiliés. Le père ne dit jamais rien pour ne pas se disputer avec sa femme. Les enfants trouvent pour leur mère un surnom, "Folcoche", qui est une contraction de "folle" et "cochonne". Ils écrivent partout VF, qui signifie "Vengeance à Folcoche". Jean finit par ne plus avoir peur de sa mère. À la fin du roman, il confronte sa mère qui refuse qu'il aille au collège. Il gagne et a le droit de partir ; il a vaincu sa mère. IUne autofiction L'autofiction est un récit où l'auteur utilise ses souvenirs mais les romance. Les noms des lieux ou des personnages peuvent être modifiés. Certaines choses sont effacées, oubliées, d'autres sont mises en au poing est un roman autobiographique mais romancé. Le narrateur, Jean, est probablement Hervé enfant, même s'il n'a pas le même prénom. Les autres personnages ont aussi des noms fictifs. En revanche, Hervé Bazin utilise le personnage de Folocoche pour parler de sa mère et des violences qu'il a connu enfant. ALes mauvais traitements physiques Le roman est un huis clos. Cela signifie que tout se déroule au même endroit, dans le château familial. Une atmosphère d’étouffement est créée par ce mère et le père mettent en place un système très strict. Mais au-delà d’un emploi du temps rigide et studieux, les enfants connaissent les mauvais traitements physiques. La mère les pique notamment avec sa fourchette quand ils se tiennent mal à table. Ils ne mangent pas à leur faim, ils ne sont pas assez couverts et ont très froid. BLa violence psychologique Le roman raconte surtout la violence psychologique, bien plus destructrice que celle physique. La mère renvoie les seules personnes qui sont gentilles avec les enfants la gouvernante et l'abbé. Elle prive les enfants de jeux, d'amusement et surtout de les humilie constamment. Les enfants vivent dans la terreur. Ils craignent leur mère. Elle devient une sorte de monstre pour narrateur, Jean, est l'enfant le moins aimé par la mère. Pour cette raison, il va tout faire pour se faire se dresse contre sa mère, contre son autorité. Il devient rebelle. Il crée le nom de "Falcoche" et se met à la défier, écrivant partout sur les murs "VF".Au début du roman, Jean tombe sur une vipère endormie alors qu'il joue dans le jardin. Il l'attrape par le cou et l'étrangle d'une seule main. Cette scène rappelle Hercule qui a tué deux serpents dans son berceau. Cette ouverture sert de métaphore au roman. Jean et sa mère vont lutter pour le va grandir, il devient un jeune homme. Il a alors le courage de s'opposer à sa mère. À la fin du roman, Jean dit qu'il a vaincu la vipère, il a vaincu sa mère.

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